La Suisse signe le Pacte mondial pour l’emploi… qu’elle ne respecte pas elle-même !

Medienmitteilung
Verfasst durch Vasco Pedrina

La Conférence internationale du Travail 2009 s’est terminée aujourd’hui à Genève avec l’adoption du « Pacte mondial pour l’emploi » de l’Organisation internationale du Travail (OIT). Les délégations suisses gouvernementale, patronale et des travailleurs et travailleuses ont également approuvé ce pacte. Ce qui est à la fois louable et cynique. En effet, deux jours seulement auparavant, le gouvernement suisse avait agi, en décidant de renoncer à relancer la conjoncture, en totale contradiction avec les principes contenus dans ce pacte. Celui-ci exige en effet, concernant l’encouragement de l’emploi, que la conjoncture soit stimulée. La décision prise mercredi dernier par le gouvernement révèle une mentalité de resquilleur : des autres États, on attend qu’ils prennent des mesures conjoncturelles actives alors que, pour soi-même, on y renonce sur son territoire…

De plus, le pacte mondial pour l’emploi de l’OIT, pour lequel se sont entre autres engagés des chefs d’État comme Lula ou Sarkozy, se prononce pour une protection efficiente en particulier des personnes spécialement vulnérables, ainsi que pour une politique salariale qui s’attaque à l’expansion de la pauvreté en donnant un rôle accru à des salaires minimaux corrects.

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De plus, le pacte mondial pour l’emploi de l’OIT, pour lequel se sont entre autres engagés des chefs d’État comme Lula ou Sarkozy, se prononce pour une protection efficiente en particulier des personnes spécialement vulnérables, ainsi que pour une politique salariale qui s’attaque à l’expansion de la pauvreté en donnant un rôle accru à des salaires minimaux corrects.


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De plus, le pacte mondial pour l’emploi de l’OIT, pour lequel se sont entre autres engagés des chefs d’État comme Lula ou Sarkozy, se prononce pour une protection efficiente en particulier des personnes spécialement vulnérables, ainsi que pour une politique salariale qui s’attaque à l’expansion de la pauvreté en donnant un rôle accru à des salaires minimaux corrects.

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De plus, le pacte mondial pour l’emploi de l’OIT, pour lequel se sont entre autres engagés des chefs d’État comme Lula ou Sarkozy, se prononce pour une protection efficiente en particulier des personnes spécialement vulnérables, ainsi que pour une politique salariale qui s’attaque à l’expansion de la pauvreté en donnant un rôle accru à des salaires minimaux corrects.

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von Roland Erne
 

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